Le Comedy Wildlife Photo Awards 2024 vient de dévoiler son palmarès et vous n’êtes pas prêts pour ces clichés délirants. Entre un éléphant de mer hilare et des oursons en vadrouille, ces photos vont totalement changer votre vision de la vie sauvage.
Résumé :
- Une compétition internationale réunissant plus de 9000 photos venues de 98 pays
- Trente photographes récompensés pour leur regard décalé sur la nature
- Des situations cocasses capturant des moments uniques de la vie sauvage
- Un jury d’experts chargé de sélectionner les clichés les plus marquants
Oubliez tout ce que vous pensiez savoir sur la photographie animalière. Le Comedy Wildlife Photo Awards 2024 vient de dévoiler son palmarès, et le moins que l’on puisse dire, c’est que la nature a le sens de l’humour. Cette année encore, les photographes du monde entier nous prouvent que la vie sauvage recèle des moments d’une drôlerie inattendue.
Un concours qui repousse les limites de la photographie animalière
Le Comedy Wildlife Photo Awards n’est pas un concours comme les autres. Alors que la photographie animalière traditionnelle privilégie souvent les moments de majesté ou de drame, cette compétition unique met en lumière les instants les plus cocasses de la vie sauvage. Pour cette édition 2024, le concours a battu tous les records avec près de 9000 clichés soumis par des photographes issus de 98 pays différents.
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Le jury d’experts avait pour mission de dénicher les photos qui allient parfaitement technique photographique et situations humoristiques, tout en respectant l’authenticité de la vie sauvage. Car c’est bien là toute la magie de ce concours : capturer des moments spontanés qui nous rappellent que les animaux peuvent être tout aussi drôles qu’attachants.
Les grands gagnants de cette édition
Parmi les clichés les plus marquants de cette année, impossible de ne pas mentionner la photo d’Alexander Fine, qui a su immortaliser un moment improbable : une maman ourse transportant ses deux oursons sur son arrière-train, comme s’ils faisaient de l’auto-stop. Cette image, intitulée « Accroché pour le voyage », capture parfaitement l’esprit du concours.
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Dans un autre registre tout aussi désopilant, Artur Stankiewicz nous présente un hippopotame particulièrement photogénique dans « Je suis trop sexy pour mon amour ». La bouche entrouverte et l’air satisfait, ce mastodonte aquatique semble tout droit sorti d’une séance photo pour magazine de mode.
Gabriel Rojo, quant à lui, a su saisir l’expression joviale d’un éléphant de mer dans un cliché baptisé sobrement « Éléphant de mer souriant ». Le mammifère marin y affiche un sourire si contagieux qu’on se demande quelle blague il vient d’entendre.
Un bestiaire hilarant qui fait le tour du monde
Les mammifères ne sont pas les seuls à nous offrir des moments d’hilarité. Les oiseaux se sont également distingués cette année, notamment grâce au talent de Jörn Clausen qui a immortalisé deux volatiles semblant engagés dans une conversation animée dans « Où penses-tu aller ? ». Fred Amico nous présente quant à lui « Le Pavarotti des hiboux », un rapace nocturne visiblement en pleine représentation d’opéra.
“Éléphant de mer souriant” de Gabriel Rojo
Le monde des petites créatures n’est pas en reste, avec notamment la « Mante religieuse flamenca » de Jose Miguel Gallego Molina, qui semble exécuter une danse endiablée. Les expressions faciales improbables sont également à l’honneur, comme en témoigne « Le chimpanzé contemplatif » d’Arvind Mohandas, dont le sujet semble plongé dans une profonde réflexion existentielle.
Chaque photo primée raconte sa propre histoire comique, qu’il s’agisse d’un « Écureuil coincé » de Milko Marchetti, visiblement dans une position délicate, ou encore des zèbres désorientés de Sarosh Lodhi dans « Attends, quel zèbre est devant ? ». La diversité des situations capturées témoigne de la richesse des moments d’humour que nous offre la nature.
